Les Péran de Kersabiec

 

Version 4.2_Page 44-11__janvier 2024

 

Rappel des ascendants de Marie Jeanne Péran

 

Il y a une seule grille 711 pour la branche du haut-Léon, celle de Guillaume Péran.  Il est curieux de noter que, contrairement au bas-Léon, qui regorge d’informations, le haut Léon est relativement pauvre. Il n’y a pas grand-chose non plus pour Telgruc et ses environs, malgré la présence de patronymes connus, comme Le Monze et Le Mérour.

Il n’y a que deux grilles 711 : Louis Mérour,d'Argol, et Anne Kerampran, de Telgruc.

 

Il faut se souvenir, que les BMS de Telgruc, du moins ceux, qui sont en ligne, ne remontent pas très loin dans le temps 1706 seulement. Par contre ceux d'Argol remontent jusqu'à 1612.

La grille 711-88_Guillaume Péran

 En fait elle s’arrête très vite ; il n’y a aucun ascendant identifié à la 11ème génération. Par ailleurs on a un problème déjà avec Guillaume Péran. Ou bien il s’est remarié, ou bien il a plusieurs homonymes dans le triangle Plouénan-Mespaul-Plougoulm.

Du coup le reste de la grille est à prendre avec précaution.

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88

Guillaume Péran

N 23 septembre 1749 à Plouénan

D 2 septembre 1801 Plouénan (comme époux de Marie Quéau !!)

 

M 22  janvier 1797 à St Pol de Léon avec Anne Léost

176

François Péran

N 27 mai 1709 à Plougoulm

D 31 mars 1789 à Plouénan

M 11 août 1735 à Plouénan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

177 Marie Louzaouis

N 10 septembre 1715 à Plouénan

D 28 avril 1782 à Plouénan kersabiec

354

Henry Louzaouis

N vers 1684

D 1er novembre 1724 Kersabiec Plouénan

M 7 juillet 1711

Plouénan

 

 

 

 

 

 

355

Catherine Riou

N 24 septembre 1695 Plouénan

D 26 mars 1754 Plouénan kersabiec

710

Jacques Riou

N vers 1670 Plouénan

D 18 décembre 1710 kersablec Plouénan

M vers 1692

 

 

711

Marguerite Quéguiner

D 17 juin 1720 Plouénan

 

 

La seule chose notable est la paroisse d’origine : Plouénan et le village : Kersabiec, où la famille est restée tout au long du 18ème siècle. 

Le village de Kersabiec se compose en fait une succession  de maisons le long d’un chemin au sud de Plouénan. Il faut noter la configuration des champs pour lesquels il ne semble pas y avoir eu de partage lors des successions comme dans la presqu’ile de Crozon.
Au contraire il y a même eu des regroupements pour obtenir aujourd’hui des surfaces plus grandes, même si on reconnait assez bien les anciennes limites.  Les arbres sont rares dans cette région connue aussi sous le nom de ceinture dorée. Artichauts et choux-fleur en ont fait la richesse, comme avant le chanvre ou le lin.