Les ascendants de Jean Kerspern
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Le patronyme Kerspern est relativement rare. En fait avant 1700 il se limite à Telgruc et à une zone comprise entre Landeleau et Scaer. Puis il y a une croissance importante vers Telgruc. Il est possible, qu'il y en ait eu avant 1700 à Telgruc mais les BMS ne remontent pas avant cette période.
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68 Jean Kerspern N 29 septembre 1755 D 24 floréal an 4 (13 mai 1796) à Telgruc – Luzéoc’h
M 24 janvier 1785 avec 69 Marie Anne Le Monze
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136 Pierre Kerspern N 6 octobre 1718 D 26 janvier 1761 Telgruc Penanguer
M 27 novembre 1749 Telgruc |
272 Mathias Kerspern N en 1691 (il y en a un autre N en 1695) D 26 octobre 1723 Telgruc Penanguer
M 23 février 1713 à Landévennec |
544 Jean Kerspern N 1er janvier 1650 Telgruc D ? M entre 1675 et 1685 Telgruc |
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545 Pétronille Keraudren N 1er janvier 1656 Telgruc D 6 juin 1706 Telgruc Penarguer |
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273 Clémence Hélaine Le Corre N 17 octobre 1690 Landévennec D 28 février 1749 Telgruc Penanguer |
546 Pierre Corre N 8 juin 1653 Landevennec D 9 octobre 1717 Landevennec
M vers 1670 Landevennec |
1092 Jean Corre N vers 1630 ( ?) Landevennec D 19 septembre 1682 Landevennec
M vers 1650
Fils de (12) 2184 Etienne Corre et de (12) 2185 Jacquette Françoise Le Roux M 13 février 1645La Forêt Landerneau |
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1093 Jeanne Daniel N 1634 Landevennec D 29 décembre 1694 Landevennec |
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547 Catherine Le Monze N vers 1646 Landevennec ? D 2 février 1701 Landévennec |
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137 Marie (Le) Mevel N 1er avril 1725 Telgruc D 22 juin 1787 Telgruc Penanguer |
274 Yves Mevel N vers 1699 D 11 avril 1769 à Telgruc Luzéoc’h
M 1er juillet 1723 Telgruc |
548 Hervé Mevel D après 1723 |
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Le nom de l’épouse ne figure pas dans l’acte de mariage de 1723 |
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275 Marie Thomas N vers 1704 D 6 octobre 1764 |
550 Jean Thomas D<1er juillet 1723 |
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Le nom de l’épouse ne figure pas dans l’acte de mariage de 1723 |
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D’une manière générale les mariages se font dans la paroisse de la future épouse, ce qui permet d’affiner les recherches, même si les recherches faites sur le site Généanet sont le plus souvent étendues automatiquement aux communes limitrophes.
Dans de très nombreux cas, les nouveaux époux vont habiter chez les parents de la mariée. C’est ainsi que les Kerspern habitent Penanguer, puis Luzéoc’h.
Les Corre viennent de Landévennec, mais Etienne Corre et Jacquette Françoise Le Roux se sont mariés à La Forêt Landerneau, ce qui laisse à penser que l’épouse, au moins, est originaire de cette paroisse.
Cette grille fait apparaître aussi les limites de l’utilisation des informations en ligne. En effet on trouve souvent des indications chronologiques floues, du genre « né vers », « circa » (abrégé en ca), qui découle de l’extrapolation de l’âge donné dans les actes. On arrive aussi à des anomalies comme dans le cas de Jean Corre, né vers 1630, mais dont les parents se seraient mariés seulement le 13 février 1645 à La Forêt-Landerneau. Une régularisation tardive ? A ces aberrations vont s’ajouter les confusions entre personnes portant le même nom, le même prénom et nées la même année (ou à peu près).
On voit également apparaître des ambiguïtés au niveau des prénoms, parfois également des noms de famille. Il faudrait avoir accès aux actes pour vérifier les noms des témoins cités dans les actes et ceux des parrains-marraines pour les baptêmes, afin de réduire les risques d’erreurs.
Les marches de la presqu'île
Comme il y avait autrefois, du temps de Charlemagne, la marche de Bretagne avec le comte Roland (en Allemagne le titre de Markgraf _ margrave en français_ a été utilisé pendant longtemps), les trois communes Landévennec, Argol et Telgruc, sont parfois appelées "les marches de la presqu'île. On verra dans les pages suivantes, que les habitants circulent assez facilement entre les trois communes (ci-devant paroisses). Les apports venant de Saint Nic ou de Dinéault ne sont cependant pas à négliger. A l'est il y a le Menez Hom; Au nord il y a l'Aulne et au sud la lieue de grève, qui permet de rejoindre Quimper, du moins, quand il n'y avait pas encore de route.